PAU : LA CIMADE ET SES PARTENAIRES DENONCENT LES CONDITIONS D’ACCUEIL INDIGNES DES PERSONNES EN DEMANDE D’ASILE
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Du 15 au 25 novembre 2012 dans toute la région, le festival MIGRANT’SCENE Pour sa 13ème édition, le festival de la Cimade « Migrant’scène, Regards croisés sur les migrations » prend la mer, pour écouter les histoires, les rumeurs, les parcours… Autour de débats, projections, concerts, spectacles, le festival invitera […]
Du 15 au 25 novembre 2012 dans toute la région, le festival MIGRANT’SCENE
Pour sa 13ème édition, le festival de la Cimade « Migrant’scène, Regards croisés sur les migrations » prend la mer, pour écouter les histoires, les rumeurs, les parcours… Autour de débats, projections, concerts, spectacles, le festival invitera des migrants, des artistes, des chercheurs, des citoyens d’ici et de là-bas, pour croiser les regards et permettre une approche sensible et humaine des migrations. Ces femmes, ces hommes, jeunes et moins jeunes, prennent la mer par nécessité. Ils se lancent sur les flots parce que l’obtention d’un visa est devenue impossible. Ils prennent la mer pour se construire un avenir. Ils prennent la mer pour fuir la guerre, la pauvreté, les persécutions. Ils cherchent la liberté. Ils prennent la mer parce qu’ils n’ont pas le choix !
La mer rassemble dans nos imaginaires un flot de mythes et de légendes… La mer est le lieu des héros, de la liberté, du passage, mais aussi de la disparition. Le plus grand exode maritime de l’histoire a eu lieu en 1975, plus de trois millions de personnes ont fui la péninsule indochinoise sur des bateaux de fortune. L’occident s’était alors ému face au courage de ces combattants de la liberté. Et voici ces nouveaux boat-people, naufragés de la mondialisation, bravant les mers, obligés par les contrôles des frontières à prendre des routes toujours plus longues et dangereuses. Quel regard posons nous sur eux ? Ils n’ont droit au mieux qu’à notre sollicitude.
Il nous faut pourtant reconsidérer la force de celles et ceux qui ont eu le courage de tout quitter et d’affronter des territoires hostiles. Il nous faut écouter ces femmes et ces hommes qui racontent une autre histoire du monde. Il nous faut retrouver l’hospitalité première des hommes et des femmes en mer. Il faut traiter l’autre comme soi même.
Auteur: Service communication
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